CHOIX DU PREMIER OBJECTIF

 

Je vais vous parler que d’objectifs Canon, je sais pertinemment que d’autres marques peuvent aisément les remplacer, mais j’ai toujours été un peu déçu par le piqué de ceux que j’avais achetés. Cela ne veut pas dire qu’ils soient tous mauvais, mais qu’il serait bon de pouvoir les essayer avant.

 

Le choix du premier objectif est délicat, il faut allier efficacité et budget. On souhaite qu’il soit notre «passe-partout», celui qui réalise de la photographie rapprochée (vous noterez que je n’ai pas dit macrophotographie), grand-angulaire pour du paysage, longue focale pour du portrait et il serait le top du top s’il pouvait faire de l’animalier. Alors bon… Il ne faut pas rêver, un tel «caillou» n’existe pas dans cette configuration, mais il peut néanmoins s’en rapprocher.

 

Le choix que j’ai adopté, après une longue hésitation, parce que l’on souhaite toujours que cela soit un investissement à long terme est un CANON EF-S 15-85 mm f/3.5-5.6 IS USM

PRATIQUE ET PAS CHER

Ensuite, on voudrait bien disposer d’un objectif à très grande ouverture et pas onéreux. Donc le choix coule de source avec le EF 50 mm f/1.8

LA MACRO UTILE

Maintenant que l’on s’est un peu amélioré, on souhaiterait faire comme les grands et photographier les petites choses. Mais on ne veut pas que cet investissement ne serve qu’à la macro. Alors, je me suis orienté vers le EF 100mm f/2.8 Macro USM qui fait aussi de très beaux portraits.

UNE BONNE FOCALE INTERMÉDIAIRE

Fatigué des mauvaises performances d'un Sigma 70-300 mm f/4-5.6 vendu en lots avec mon premier reflex (c'est un objectif parfait pour les débutants et ainsi se faire la main à moindres frais), je recherchais alors une gamme au-dessus avec des critères bien définis : une focale légèrement inférieure, assez léger et sans pour autant prendre un crédit sur 20 ans.

 

Le EF 70-200mm f/4L IS USM m’a tout de suite séduit.

POUR FAIRE DE L'ANIMALIER

J'ai eu l'occasion de partir pour l'Afrique, et on se dit que dans une vie, cela sera peut-être une occasion unique.

 

Alors, on fait le point sur les objectifs disponibles pour l’animalier. J’ai bien le 200 mm et même s’il fait 320 mm avec le capteur, je ne m’attends pas à ce que le monde animal passe devant moi au point de m’écraser les pieds.

Il me fallait quelque chose de plus sérieux. Alors, on voit les choses en grand…

Et, quand j’ai vu le prix d’un 400 mm f/2.8 en focale fixe, j’ai failli tomber à la renverse !

 

Non, ce n’était pas possible. Et de plus, pour les voyages, il est préférable de chercher un compromis entre qualités acceptables, prix, poids et encombrement. Je vous rappelle que les taxes de surpoids en avion sont très onéreuses.

Parce que, pour ce genre de voyage, on a évidemment peur qu’il nous manque l’objectif qui fera la différence. Alors, on emmène tout !

 

Je voulais, si c'était possible, continuer dans la marque. Il me restait plus que l’option du EF 100-400mm f/4.5-5.6L IS USM

MON DERNIER ACHAT

Nous avons tous un jour ou l'autre notre coup de folie shoping. Je l'ai eu pour un objectif absolument merveilleux qui répond à toutes mes exigences. Il vous rend les couleurs telles que vous les voyez avec un piqué à tomber par terre.

 

Il s'agit du EF 24-70 mm f/2.8L USM à ouverture constante.